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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux Jordan et autre fête du jour

Saint Gilbert
évêque de Meaux (✝ v. 1009)

 

Originaire du Vermandois, il fut d'abord chanoine à Saint Quentin, puis évêque de Meaux. Nous connaissons peu de chose de ses actes épiscopaux, mais nous le voyons souscrire à une charte en faveur de l'abbaye de Saint Denis. Il signe des donations à plusieurs autres abbayes en Ile de France et dans le pays chartrain.Saint Gilbert, évêque de Meaux - ville de Ham
Illustration: "Saint Gilbert, évêque de Meaux, est né à Ham le 30 septembre 950. Chanoine de Saint-Quentin puis archiprêtre de Meaux, il fut nommé évêque de Meaux en 995. Il mourut dans cette ville et fut enseveli dans sa cathédrale."
"Saint Gilbert né à Ham le 30 septembre 950. Il fut d’abord chanoine à Saint Quentin, puis évêque de Meaux. Il est décédé le 13 février 1009." (les hamois célèbres - ville de Ham - 80400)
Un internaute nous signale: "Selon Dom Toussaints du Plessis (Histoire de l'église de Meaux, 1731) et Mgr Allou (Chronique des évêques de Meaux, 1875), Gilbert a été nommé évêque en 995, à la mort d'Archanrad qui l'avait nommé archidiacre de son église. Il apposa son sceau sur une charte en faveur de l'abbaye de St Denis (998 puis 1008), sur une charte du roi Robert en faveur de l'abbaye Saint-Pierre de Melun (1005) et partagea les biens de l'église de Meaux entre l'évêque et son chapitre, accédant ainsi à la demande des chanoines (12 mars 1005, confirmée en 1049 par le pape saint Léon IX). Gravement malade, il fit venir à lui ses amis Leotheric, archevêque de Sens, et Fulbert, évêque de Chartres. Il mourut un 13 février 1015 selon Du Plessis, 1009 ou 1010 selon les Bollandistes ou le Propre du diocèse de Meaux. Plusieurs miracles s'opérèrent à son tombeau (il fut inhumé devant le maître autel de sa cathédrale). Ses reliques furent pillées par les Huguenots en 1562."
À Meaux, en 1009, saint Gilbert, évêque, qui donna l'exemple d'une parfaite humilité.

Martyrologe romain

13 Février  et 2 Février
Sainte Catherine de Ricci

Vierge
(1522-1590)
 

La vie de cette Sainte est l'une des plus prodigieuses, par les ravissements, les extases, les grâces extraordinaires de tout genre qui la remplissent. Catherine naquit à Florence en 1522.

Dès l'âge de trois ans, on la voyait s'exercer à la prière, rechercher la solitude et le silence pour s'y livrer plus à l'aise, et sa prière était si recueillie, qu'elle y paraissait l'esprit absorbé en Dieu, et comme plongée dans la contemplation de Ses mystères.

La Passion de Jésus-Christ était déjà l'objet des vives ardeurs de son amour, et elle préludait par ses exercices enfantins à cette admirable dévotion envers Jésus crucifié, qui est le caractère le plus éclatant de sa vie.

Elle prit le voile à treize ans, chez les Dominicaines. C'est à l'âge de dix-neuf ans qu'elle reçut cette grâce inouïe de voir changer par Notre-Seigneur son coeur en celui de Marie.

Quelques mois après, elle eut une mémorable extase de la Passion, qui dura vingt-huit heures, et dans laquelle elle assista successivement au détail de toutes les scènes de la Passion du Sauveur, paraissant elle-même, par ses gestes, subir chacun des supplices dont elle était témoin. Ce spectacle devait se renouveler toutes les semaines pendant les douze dernières années de sa vie. On entendait, dans ces extases, la Sainte pousser des exclamations de douleur et d'amour. Quelle impression pour les innombrables témoins de ces merveilles!

Le cachet de la vertu véritable, c'est l'humilité; un seul fait montrera que Catherine était bien conduite par l'esprit de Dieu. Elle avait appris que ses soeurs s'étaient plu à écrire, pour en garder le souvenir, la relation de toutes les grâces et faveurs extraordinaires dont le Ciel l'avait comblée. Elle n'eut point de repos avant d'avoir mis la main sur tous ces écrits. Un jour, pendant que ses soeurs étaient à l'office, elle entra dans leurs cellules, s'empara de tous les manuscrits qu'elle put rencontrer, les mit dans un sac, et, le portant à la soeur boulangère, qui chauffait le four: "Tenez, lui dit-elle, brûlez vite tout ceci, car malheur à nous si on le trouvait dans la maison!"

Sa dernière prière fut le Pater noster. Le couvent retentit alors des chants harmonieux des anges. En différents lieux, de saints personnages eurent la vision d'une magnifique procession de Saints et de Saintes; au bout du cortège, Jésus conduisait en triomphe Sa glorieuse épouse.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Bienheureux JOURDAIN de SAXE,

 

SUCCESSEUR DE SAINT DOMINIQUE À

LA TÊTE DE L'ORDRE DES FRÈRES PRÊCHEURS
 

13 février
Bienheureux Jourdain de Saxe, Fra AngelicoBienheureux Jourdain de Saxe, Fra Angelico 
«Je t’ai recommandé la pauvreté, la charité, l’humilité afin qu’au moyen de ces trois vertus, tu parviennes aux vraies richesses, aux délices et aux honneurs avec l’aide de Celui qui est ton grand soutien, le Seigneur Jésus-Christ» ( Lettre à la Bienheureuse Diane des Andalo)
«Vivre honnêtement, aimer, enseigner»: c’est ainsi que synthétisait frère Jourdain sa règle de vie qui deviendra celle des Dominicains, dans la ligne tracée par le Fondateur, qui voulait que ses frères «soient adonnés à la prière, à l’enseignement et à la prédication».

L’appel à la prédication
On sait peu de chose sur la vie du bienheureux Jourdain de Saxe avant 1219, année où il rencontre à Paris saint Dominique; il le choisit comme confesseur, et entreprend des études pour le diaconat. L’année suivante il prend l’habit dominicain et se fait aussitôt remarquer pour ses dons oratoires éclairés par l’amour pour le salut des âmes et pour le message évangélique; ces dons le mettent à l’aise aussi bien près des pauvres que des universitaires. Né en Westphalie, Frère Jourdain voyage beaucoup même après sa nomination comme provincial de la Lombardie: il voyage pour participer aux Chapitres, mais surtout pour annoncer la Parole; il le fera pendant vingt ans , jusqu’au moment où il aura les forces nécessaires.

L’Ordre tant aimé
La solidité de la foi et la vie de sainteté de frère Jourdain attirent tant d’âmes dans son Ordre: en peu de temps le nombre des frères passe de trois cents à quatre mille et les maisons de trente à trois cents. Il s’emploie à publier les premières Constitutions dominicaines, pour donner l’impulsion aux missions, à l’administration des sacrements et pour la tutelle du droit de sépulture des frères dans les églises dominicaines. Il ne manque pas de défendre le caractère universel de l’Ordre et son indépendance contre les ingérences du clergé local; en outre, c’est aussi grâce à lui que sont juridiquement incorporées dans l’Ordre les moniales dominicaines, selon la volonté du Fondateur lui-même.

Sur les pas de saint Dominique
C’était frère Hyacinthe la pupille de saint Dominique qui l’avait choisi comme son successeur. Mais le Bienheureux est encore considéré aujourd’hui comme l’interprète authentique de la spiritualité du Fondateur, spécialement pour le temps consacré à la prière et à la dévotion mariale. Il est également reconnu pour sa douceur: il corrige les frères avec bonté de cœur plutôt qu’avec la rigueur et la discipline, il les écoute, les réconforte , les encourage aussi par lettre, quand il ne peut pas être présent à leurs côtés. C’est une spiritualité très simple, la sienne, faite d’union avec Dieu et imitation du Christ, d’acceptation des épreuves comme instrument de purification et de méditation de la Passion de Jésus sans négliger la pratique des vertus chrétiennes et le don de soi à tous, spécialement aux pauvres, nos frères: «Il vaut mieux perdre la tunique que la piété», disait-il. Vers la fin de sa vie, il réussit aussi à voir la translation de la dépouille de saint Dominique dans une sépulture convenable et, l’année suivante, sa canonisation par le pape Grégoire IX.

Le naufrage à Acre
Le bateau à bord duquel voyageait Frère Jourdain de Saxe après un pèlerinage en Terre Sainte fit naufrage près d’Acre, actuel Akkon; en apprenant la nouvelle les frères de la communauté locale accourent sur les lieux et trouvent immédiatement le corps noyé entouré d’une croix de lumière. Ils l’ensevelissent dans leur église, mais ses restes mortels furent dispersés à la suite de l’invasion des Turcs. Le jour de sa mort la future sainte Lutgarde eut une vision de Jourdain au ciel, entre les Apôtres et les Prophètes.

Autres Fêtes du Jour
 

Bienheureux Ange Tancrède  frère mineur (✝ 1257)
Saint Bénigne de Todi  prêtre et martyr (✝ v. 304)
Saint Castor  Patron de la ville rhénane de Coblence (IVe siècle)
Bienheureuse Christine de Spolete  Fille d'un médecin de Lugano (✝ 1458)
Saint Domnin  évêque de Digne (✝ 379)
Sainte Ermenilde  abbesse (VIIe siècle)
Saint Etienne de Lyon  Evêque de Lyon (✝ v. 512)
Saint Etienne de Rieti  abbé (VIe siècle)
Bienheureuse Eustochium de Padoue  religieuse bénédictine (✝ 1468)
Saint Fulcran de Lodève  Evêque et confesseur (✝ 1006)
Saintes Fusque et Maura  (✝ 250)
Saint Gimer  évêque de Carcassonne (✝ 931)
Saint Gosbert  évêque (✝ 874)
Bx James Alfred Miller frère des Écoles Chrétiennes martyr au Guatemala (✝ 1982)
Saint Lézin  Evêque d'Angers (VIe siècle)
Saint Martinien  (✝ 830)
Saint Paul Le Van Loc  Martyr en Cochinchine (✝ 1859)
Saint Paul Liu Hanzuo  prêtre chinois du Sichuan, martyr (✝ 1818)
Saint Pierre de Verceil  (✝ 1010)
Saint Sava de Serbie  Archevêque de Serbie (✝ 1247)
Saint Syméon le Myroblite  ermite orthodoxe (✝ 1200)

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