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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Jacques, St Jacques le Majeur et Les fêtes des Saintes Âmes du 25 juillet

SAINT DU JOUR
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Date 25 juillet

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint-Siège

SAINT JACQUES LE MAJEUR, APÔTRE

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Disciple de Jésus, protecteur des pèlerins et des soldats, évangélisateur de l'Espagne, Saint Jacques le Majeur, que l'Église célèbre le 25 juillet, est représenté dans l’iconographie avec le bâton du pèlerin et le

Pêcheur d’hommes

Jacques, frère de l'apôtre Jean, est appelé «Majeur» pour le distinguer de l'Apôtre du même nom, Jacques, fils d'Alphée, dit « le Mineur ». Sa vie change radicalement quand il accueille l'invitation de Jésus à devenir «pêcheur d’hommes». « De là, il avança et il vit deux autres frères, Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient dans la barque avec leur père, en train de réparer leurs filets. Il les appela. Aussitôt, laissant la barque et leur père, ils le suivirent. » (Mt 4,21-22) Leur caractère fougueux à lui et son frère, leur vaut d’être surnommés par Jésus lui-même "Boanergès" (fils de tonnerre).

Témoin de la Transfiguration et de l'agonie

Jacques est un témoin de la gloire de Jésus, de l'événement de la Transfiguration : «Jésus - écrit l'évangéliste Matthieu - prend avec lui Pierre, Jacques et Jean son frère, et il les emmène à l’écart, sur une haute montagne » et « Il fut transfiguré devant eux ; son visage devint brillant comme le soleil, et ses vêtements, blancs comme la lumière. » (Mt 17.1-2) L'apôtre est aussi un témoin de l'agonie de Jésus dans le jardin de Gethsémani : « il emmène avec lui Pierre, Jacques et Jean, - nous rappelle l'Évangile de Marc - et commence à ressentir frayeur et angoisse.» (Mc 14,33)

Premier apôtre martyr

Jésus prédit son martyre. « Pouvez-vous boire - écrit Matthieu - la coupe que je vais boire ? » Jacques et Jean lui disent : « Nous le pouvons. » Sa mort est sommairement décrite dans les Actes des apôtres : « le roi Hérode Agrippa se saisit de certains membres de l’Église pour les mettre à mal. Il supprima Jacques, frère de Jean, en le faisant décapiter. » (Ac 12,1-2) Après la décapitation, selon la Légende dorée du frère dominicain Jacques de la Voragine, son corps fut transféré en Espagne.

Le tombeau de Jacques

Selon la tradition, en 831, après un prodigieux phénomène lumineux près du mont Libredón, une tombe est découverte avec l'inscription: "Ici gît Jacques, fils de Zébédée et Salomé". L'endroit est nommé campus stellae ("Champ de l'étoile"), à partir duquel dérivera ensuite le nom de la ville de Compostelle. En 1075 commence la construction de la basilique dédiée à lui et depuis le Moyen-âge, le sanctuaire est la destination des pèlerinages, d'abord de toute l'Europe et puis de partout dans le monde.

Le Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle

En 1987, le Conseil de l'Europe déclare les chemins de Saint-Jacques « premier itinéraire culturel européen ». Paulo Coelho écrit : « L'esprit des anciens pèlerins de la Tradition doit t'accompagner dans ton voyage. Le chapeau te protège du soleil et des mauvaises pensées; Le manteau te protège de la pluie et des mauvaises paroles; Le bâton te protège des ennemis et des mauvaises actions. Que la bénédiction de Dieu, de Saint Jacques et de la Vierge Marie t’accompagne tous les soirs et tous les jours. Amen. »

rouleau de l'Évangile en main.  

Saint Jacques le Majeur
 

Apôtre et martyr
(† v. 42)

J

acques fils de Zébédée et Jacques fils d'Alphée (cf. Mc 3, 17.18; Mt 10, 2-3), sont distingués communément par les appellations de Jacques le Majeur et Jacques le Mineur. Ces désignations n'entendent bien sûr pas mesurer leur sainteté, mais seulement prendre acte de l'importance différente qu'ils reçoivent dans les écrits du Nouveau Testament et, en particulier, dans le cadre de la vie terrestre de Jésus.

Jacques put participer, avec Pierre et Jean, au moment de l'agonie de Jésus dans le jardin de Gethsémani, et à l'événement de la Transfiguration de Jésus.

Au début des années 40 du I siècle, le roi Hérode Agrippa, neveu d'Hérode le Grand, comme nous l'apprend Luc, "se mit à maltraiter certains membres de l'Église. Il supprima Jacques, frère de Jean, en le faisant décapiter" (Ac 12, 1-2). La concision de la nouvelle, privée de tout détail narratif, révèle, d'une part, combien il était normal pour les chrétiens de témoigner du Seigneur par leur propre vie et, de l'autre, à quel point Jacques possédait une position importante dans l'Église de Jérusalem, également en raison du rôle joué au cours de l'existence terrestre de Jésus.

Une tradition successive, remontant au moins à Isidore de Séville, raconte un séjour qu'il aurait fait en Espagne, pour évangéliser cette importante région de l'empire romain. Selon une autre tradition, ce serait en revanche son corps qui aurait été transporté en Espagne, dans la ville de Saint-Jacques-de-Compostelle. Ce lieu devint l'objet d'une grande vénération et il est encore actuellement le but de nombreux pèlerinages, non seulement en Europe, mais du monde entier. C'est ainsi que s'explique la représentation iconographique de saint Jacques tenant à la main le bâton de pèlerin et le rouleau de l'Évangile, caractéristiques de l'apôtre itinérant et consacré à l'annonce de la "bonne nouvelle", caractéristiques du pèlerinage de la vie chrétienne.

Jacques le Majeur se présente à nous comme un exemple éloquent de généreuse adhésion au Christ. Lui, qui avait demandé au début, par l'intermédiaire de sa mère, à s'asseoir avec son frère à côté du Maître dans son Royaume, fut précisément le premier à boire le calice de la passion, à partager le martyre avec les Apôtres.

 

Bienheureux Ángel Darío Acosta Zurita

Prêtre et martyr († 1931)

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 ngel Darío Acosta Zurita naît le 13 décembre 1908 à Naolinco, dans le diocèse et l’État de Veracruz, au Mexique. Sa famille mène une vie simple et chrétienne, mais après la mort du père, elle est confrontée à une pauvreté extrême.

Dès sa jeunesse, Darío connaît des conditions difficiles et il doit aider sa mère et ses quatre frères. Cependant, malgré ces difficultés, il parvient à entrer au séminaire. Là, il est fort apprécié et par ses supérieurs et par ses camarades. C’est aussi un excellent sportif, athlétique, capitaine de foot pendant plusieurs années.

Il est ordonné prêtre le 25 avril 1931 et célèbre sa première messe avec une grande émotion à Veracruz le 24 mai suivant. Le 26 mai, il est nommé vicaire dans la paroisse d’Asunción à Veracruz. Il se distingue par sa ferveur et sa bonté. Il marque un grand intérêt pour le catéchisme des enfants et se dévoue au sacrement de pénitence. Dans ses prédications il aime à dire : « La croix est notre force dans la vie, notre consolation dans la mort, notre gloire dans l'éternité. En faisant tout par amour pour le Christ crucifié, tout sera plus facile pour nous. S’il a souffert beaucoup pour nous, il est nécessaire que nous souffrions aussi pour Lui. »

La même année (1931), le gouverneur de Veracruz Adalberto Tejeda promulgue un décret appelé ‘loi Tejeda’ visant à réduire le nombre des prêtres en service car il veut mettre fin au “fanatisme du peuple” ;  disposition assortie d’une menace de mort pour les contrevenants. Il en envoie un exemplaire à chaque prêtre. L’abbé Acosta le reçoit le 21 juillet. Il est conscient du danger qu’il court mais il fait preuve comme toujours d’une grande tranquillité et d’une gaieté sereine.

La loi doit entrer en application le 25 juillet. Or ce jour-là, par une après-midi pluvieuse, les enfants se sont pressés comme d’habitude pour le catéchisme et des adultes attendent pour se confesser. L’église est bondée.
A 18h10, des hommes revêtus d’habits militaires font irruption dans l’église en pénétrant simultanément par trois portes et, sans préavis, dans l’affolement général, ils ouvrent le feu sur les prêtres qui sont là. L’un est grièvement blessé, un autre en réchappe, protégé par la chaire. Quant à l’abbé Darío, on lui tire dessus alors qu’il sort du baptistère. Il meurt en s’exclamant « Jésus ! » Il était prêtre depuis exactement trois mois.

Ángel Darío Acosta Zurita a été béatifié le 20 novembre 2005 avec 12 autres martyrs mexicains.
La Cérémonie de béatification a eu lieu dans le stade Jalisco de Guadalajara (Mexique) et a été présidée par le Card. José Saraiva Martins 

SAINT CHRISTOPHE, MARTYR

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Saint Christophe, un des saints martyrs tombés sous la persécution de Dèce, a un nom d’une signification belle et symbolique : le Saint porte le Christ, et sa fête se célèbre le 25 juillet.  

Protecteur des Voyageurs

L’image la plus fréquente de saint Christophe représente  un géant barbu qui porte sur  son épaule l’Enfant Jésus, en l’aidant à traverser un fleuve ; l’Enfant Jésus porte sur la pointe des doignts le monde comme s’il jouait avec une balle. Cette image remonte à une  des légendes hagiographiques les plus connues sur ce saint martyrisé le 25 juillet à Samos, en Lycie. Selon cette tradition, son vrai nom était Reprobe, et c’était un géant qui voulait se mettre au service du roi le plus fort  du monde. Arrivé à la cour d’un roi qui se croyait invincible, il se mit  à son service, mais un jour il s’aperçut que le roi,  pendant qu’il écoutait un ménestrel qui chantait une chanson qui parlait du diable, il faisait un signe de croix. Il lui en demanda la cause, et le roi lui répondit qu’il avait peur du diable, et que chaque fois qu’il entendait le nommer il faisait le signe de croix pour se protéger. Le géant  se mit alors à la recherche du démon qu’il jugeait plus puissant que son roi. Il n’en fallut pas  beaucoup pour le trouver, et il se mit à son service et à sa suite. Mais un jour, en passant par une route où il  y avait une croix, le démon changea de route. Reprobe lui demanda pour quelle raison il l’avait fait, et le  démon fut contraint à admettre que c’est sur une croix que le Christ était mort et que lui devant la  croix, il était épouvanté et obligé de prendre la fuite. Reprobe alors  l’abandonna  et se mit à la recherche de Jésus-Christ. Un ermite  lui suggéra  de se bâtir une cabane près d’un fleuve au torrent dangereux et d’aider, grâce à sa force et à sa stature gigantesque,  les voyageurs  à le traverser ;  et que certainement  le Christ en serait heureux et peut-être un jour se manifesterait à lui. Un jour le bon géant entendit une voix d’enfant qui lui demandait de l’aide : c’était un enfant qui voulait passer sur l’autre rive. Le géant le prit sur ses épaules et commença à traverser les eaux tumultueuses ; mais plus il entrait dans le fleuve, plus le poids de ce menu enfant devenait plus lourd  si bien  que c’est avec  beaucoup de fatigue que le géant réussit à parvenir sur l’autre rive. Là l’enfant révéla son identité : c’était Jésus, et le poids que le géant avait supporté était celui du monde entier, sauvé par le sang du Christ. Cette légende, en plus d’avoir inspiré l’iconographie occidentale, a fait  que saint Christophe  est invoqué  comme patron des bateliers, des pèlerins et des voyageurs.

Saint à la tête de chien

En Orient saint Christophe est en général représenté avec une tête de chien, comme en témoignent de nombreuses icônes conservées à Saint Petersburg et Sofia. L’iconographie cynocéphale selon certains serait la preuve qu’il s’agit d’un culte né dans le milieu hellénistico-égyptien, avec une référence claire au culte du dieu Anubis ; mais plus plausible et complexe serait  au contraire  une autre hypothèse : Reprobe se serait engagé dans l’armée romaine et se serait converti au christianisme avec le nom de Christophe. Dénoncé pour son activité apostolique parmi ses frères d’armes, et conduit  devant le juge, il aurait résisté à toute tentative  de le faire abjurer  et aurait été enfin décapité. Donc Christophe, aurait porté le Christ dans son cœur jusqu’au martyr, comme le petit âne  qui porta le Christ à Jérusalem le jour des Rameaux. C’est pour cette raison que se serait répandu en Orient, en premier lieu, l’habitude de représenter Christophe avec une tête d’un petit âne, qui s’est ensuite  transformée en une tête de chien. Il s’agirait pour cela d’une iconographie interne au christianisme, sans aucun lien avec les cultes païens.

Le protecteur des yeux

Selon la Légende Dorée, le martyre de Christophe eut lieu  à Samos, en Lycie. Le Saint résista aux tortures à lui infligées avec des  verges  de fer  et de métal brûlant. Des flèches ont  même été lancées contre lui mais elles restèrent à demi- suspendues en l’air, et une d’entre elles se retourna  et frappa l’œil du souverain qui avait ordonné le supplice. Le roi donna alors l’ordre de décapiter Christophe, et le Saint, avant de mourir lui dit : «  Lave ton œil avec mon sang, et tu seras guéri ».Le roi retrouva la vue et se convertit,  et c’est à partir de là que saint Christophe  est invoqué pour la guérison des maladies de la vue.

Patron:
Automobilistes
Débardeurs
Porteurs
Touristes
Voyageurs
Saint Thaumaturge
invoqué pour voyager en sécurité
​​​​​​​

 

Vénérable María Berenice Duque Heckner

fondatrice des 'Hermanitas de la Anunciación' (✝ 1993)

 

- Décret de vertus héroïques du 12 février 2019 (en italien)
Ana Julia Duque Heckner est née à Salamina en Colombie le 14 août 1898 et morte à Medellín le 25 juillet 1993.
Elle est la fondatrice des Hermanitas de la Anunciación, 'Petites Sœurs de l'Annonciation', congrégation née à Medellín, en Colombie, le 14 mai 1943.
Madre María Berenice est une femme aux grandes actions prophétiques et à l’esprit novateur et audacieux. Elle consacre sa vie à la dignité des femmes marginalisées (travailleuses, prostitution), à l'éducation des enfants et des jeunes, sans distinction de race ou de statut social, et à la catéchèse dans les zones rurales et à la périphérie des grandes villes.
 

Sainte Olympiade

Veuve, diaconese à Constantinople (✝ v. 410)

ou Olympias.
Elle avait épousé le préfet de Constantinople, mais elle perdit son époux après vingt mois de mariage. Elle prit alors le voile de diaconesse, utilisa son immense fortune pour fonder un hôpital et un orphelinat desservis par une communauté religieuse. Fille spirituelle de saint Jean Chrysostome, elle le soutint quand il fut exilé par l'impératrice Eudoxie, qui d'ailleurs dispersa la communauté de sainte Olympiade. Elle supporta ces harcèlements et ces persécutions avec patience. Nous avons dix-sept lettres de saint Jean Chrysostome qui, durant son exil, lui écrivait pour la soutenir. Il ne se plaint pas de son état, il ne la plaint pas non plus. Il la félicite d'être patiente et d'aimer ses persécuteurs: "Tu as fortifié et entraîné par ton exemple ceux qui t'entouraient."
Née à Constantinople, elle connut saint Grégoire le théologien et saint Grégoire de Nysse. Après la mort de son époux, préfet de Constantinople, elle refusa un second mariage et consacra son immense fortune à édifier des hôpitaux pour les malades, des hôtelleries pour les pauvres et des monastères pour les religieuses. Elle-même vivait très pauvrement. Ordonnée diaconesse, elle fut la conseillère du patriarche saint Nectaire puis de saint Jean Chrysostome qu'elle défendit au moment de son exil. Ce qui lui valut de lourdes amendes et, comme son patriarche, l'exil qu'elle endura avec foi et patience. Nous avons plusieurs lettres que saint Jean Chrysostome lui adressa à cette époque. Elle mourut en exil, à Nicomédie.
À Nicomédie de Bithynie, le trépas de sainte Olympiade, veuve. Encore jeune quand elle perdit son mari, elle passa le reste de sa vie à Constantinople parmi les femmes consacrées à Dieu, venant en aide aux pauvres et entièrement fidèle à saint Jean Chrysostome, jusque dans son exil.

Martyrologe romain

Fêtes des Saintes Âmes du 25 Juillet

Bx Alphone, Rodolphe, Pierre, Antoine et François  martyrs jésuites en Inde (✝ 1583)

Bx Ángel Darío Acosta Zurita  prêtre mexicain martyr (✝ 1931)

Bx Antoine Lucci  évêque (✝ 1762)

Saints Béat et Bantus  prêtres et ermites à Trèves (VIe siècle)

Saint Cucufat  martyr sous Dioclétien (✝ v. 303)

Saint Evrou  fondateur du monastère de Saint-Fuscien-aux-bois (✝ v. 600)

Sainte Glosselinde  abbesse à Metz (✝ 609)

Bienheureux Jean Soreth  prêtre carme (✝ 1471)

Saint Macaire d'Oujensk  moine (✝ 1504)

Saint Magnéric  Évêque de Trèves (✝ 596)

Vble María Berenice Duque Heckner  fondatrice des 'Hermanitas de la Anunciación' (✝ 1993)

Ste Marie-Carmen Salles y Barengueras  fondatrice de la Congrégation des religieuses de l'Immaculée Conception (✝ 1911)

Bse Marie-Thérèse Kowalska  clarisse martyre en Pologne (✝ 1941)

Bx martyrs de la guerre civile espagnole  martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)

Bx Michel-Louis Brulard  prêtre carme à Charenton, martyr aux Pontons de Rochefort (✝ 1794)

Saint Nersès  évêque arménien (✝ v. 373)

Sainte Olympiade  Veuve, diaconese à Constantinople (✝ v. 410)

Bienheureux Pierre Corradini de Mogliano  prêtre franciscain (✝ 1490)

Saint Théodemir  moine et martyr en Andalousie (✝ 851)

Sainte Valentine  Martyre à Césarée de Palestine (✝ 308)

Bx Wenceslao Pedernera  laïc martyr en Argentine (✝ 1976)

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