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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Ruppert et aux Albert et aux Saints et saintes du 27 mars

Saint Rupert de Salzbourg
évêque (✝ 718)


Rupert ou Robert de Hrodbert.
Il appartenait à la famille royale mérovingienne, ce pourquoi il fut choisi comme évêque de Worms en Rhénanie. Saint Rupert de SalzbourgQuand il en fut chassé, il partit évangéliser la Bavière et fonda le monastère Saint Pierre de Salzbourg, ville dont il devint l'évêque et reste le patron.
En Allemand
- Illustration: Rupert von Salzburg, patron du diocèse


- Conférence épiscopale d'Autriche: Le diocèse de Salzburg a été fondé au VIIe siècle grâce aux efforts de Saint Rupert (vers 650-718)
- Archidiocèse de Salzburg (en allemand)
- il est également fêté le 24 septembre date à laquelle en 774, à l'initiative de l'évêque Virgile, ses ossements ont été transférés à Salzbourg

Son nom devint si célèbre qu'on venait le consulter de toutes parts. Il éclaircissait les doutes qu'on lui proposait, consolait les affligés, et guérissait les maladies des corps et des âmes. Un mérite si distingué le fit élever sur le siège épiscopal de Worms (ville de Rhénanie-Palatinat, Allemagne) : mais les habitants de ce diocèse, dont la plupart étaient encore idolâtres, ne purent souffrir un pasteur dont l'éminente sainteté condamnait leurs désordres ; ils l'accablèrent d'outrages, et le chassèrent de la manière la plus indigne.

Théodon, duc de Bavière l’invita à venir dans son pays. Rupert arriva à Ratisbonne en 697, et y fut reçu par le duc et par sa cour avec la plus grande distinction. Ayant trouvé partout des cœurs dociles, il ralluma le flambeau de la foi, éteint par les superstitions et par les hérésies qui s'étaient élevées depuis la mort de saint Séverin.
Il convertit Ragrintrude, sœur de Théodon, et cette conversion fut suivie de celle du duc et de toute la Bavière. Dieu renforça l'autorité, par plusieurs miracles, de la doctrine que prêchait le saint missionnaire. Le zèle de Rupert porta aussi la lumière de l'évangile chez les nations voisines.


Il continua ses prédications à Lorch et à Juvave ; il établit son siège épiscopal dans cette dernière ville. Elle était alors presque entièrement ruinée ; mais on la rebâtit, et elle prit le nom de Salzbourg. Le duc Théodon y fit beaucoup d'embellissements, avec de riches donations, qui mirent Rupert en état de fonder un grand nombre d'églises et de monastères. Théodebert ou Diotper, héritier de la piété de son père, augmenta considérablement les revenus de l'église de Salzbourg.

Rupert fit un voyage en France, dans le dessein de se procurer des missionnaires capables de le seconder dans ses travaux apostoliques : il en emmena douze, avec sainte Erentrude, sa nièce. Celle-ci ayant fait à Dieu le sacrifice de sa virginité, il lui donna le gouvernement du monastère de Numberg, dont il était fondateur.

Il mourut quelques années après, le jour de Pâques de 718 qui tombait, cette année, le 27 mars. Il venait de dire la messe et de prêcher. Il est nommé en ce jour dans les martyrologes.
En Autriche et en Bavière, on fait sa principale fête le 24 septembre : c'est le jour d'une des translations de ses reliques, que l'on voit à Salzbourg, dans l'église qui porte son nom.

Martyrologe Romain

 

Bx François Faà di Bruno

Officier d'état-major, mathématicien,

physicien, astronome, musicien et compositeur

Prêtre et fondateur des :

“Sœurs Minimes de Notre-Dame du Suffrage”

 

Francesco Faà di Bruno naît à Alexandrie (Italie) le 29 mars 1825, dans une famille noble piémontaise ; il est le dernier de douze enfants. Élevé chez les Pères somasques, il entre à 15 ans à l’Académie militaire de Turin.

Francesco hésite entre la carrière militaire et la prêtrise. Il participe avec ardeur à la première guerre d’indépendance italienne (1848). Très doué pour les mathématiques, il est nommé officier d’état-major, spécialisé en géographie et en cartographie. Mais lors de la défaite de Novare (1849), il est témoin de la souffrance et de l’angoisse des jeunes soldats blessés ou mourants et cela refroidit son enthousiasme ; il est lui-même blessé. Décoré, il est nommé capitaine. À la suite d’une vexation, il est provoqué en duel et refuse ; le duel est formellement interdit, mais en fait, il est admis par tous et considéré comme un devoir moral.

Faà di Bruno est alors tenu à l’écart. Ses supérieurs militaires l’envoient se perfectionner au point de vue scientifique à la Sorbonne à Paris où il travaille sous la direction du célèbre mathématicien Alfred Cauchy, lequel admire chez lui, non seulement le génie, mais la foi et la philanthropie. C’est pourtant l’époque où la recherche scientifique et la foi paraissent incompatibles. Faà travaille aussi avec Le Verrier (les calculs de ces deux savants avaient conduit à la découverte de la planète Neptune par Galle en 1846).

De retour à Turin, il obtient sa mise en congé; il quitte l’armée en 1853 à 28 ans. Continuant ses recherches en mathématiques, il découvre en 1859 une formule qui porte son nom. Déjà diplômé à Paris, il est docteur de l’université de Turin en 1861. Il professe à l’académie militaire et à l’université, mais jamais comme professeur en titre, à cause du climat anticlérical de l’époque. Il ne sera nommé qu’en 1876, et comme professeur extraordinaire seulement.

Pour l’une de ses sœurs, aveugle, il invente le « bureau pour aveugle » et un réveil électrique pour scander les heures de la journée. Son activité multiforme embrasse aussi la musique. Il crée une école de chant du Dimanche pour les domestiques, publie un magazine sur le chant et compose des mélodies simples et pacifiantes qui ont l’heur de plaire à Franz Liszt. De plus, il mène de front toutes ces activités, ainsi que le professorat, avec de nombreuses œuvres de charité; car il fait connaissance de don Bosco, l’éducateur des garçons pauvres, qui l’influence beaucoup.

Lui-même constate la situation sociale déplorable de l’époque, spécialement des femmes, fragilisées par leurs conditions de vie : domestiques, filles-mères, prostituées, femmes âgées ou infirmes. Pour elles, il crée en 1859 une œuvre qu’il met sous le patronage de sainte Zita (patronne des domestiques), pour leur promotion sociale et spirituelle. L’étoile qui le guide dans toute cette activité sociale, c’est son grand amour de Dieu. Il nourrit cet amour dans l’exercice constant de la prière et de la contemplation. Il répète souvent : « Se donner à Dieu équivaut à s’adonner à une activité supérieure, qui nous entraîne comme les eaux gonflées et tumultueuses d’un torrent en crue ». Pour l’aider dans ce travail en faveur des femmes, il crée la congrégation des “Sœurs Minimes de Notre-Dame du Suffrage”.

Pour son œuvre appelée “Œuvre de sainte Zita”, il construit une église dédiée à Notre-Dame du Suffrage, appelée communément Sainte-Zita. Il en fait les plans et lui donne notamment un clocher élevé où il place une horloge à 80 m de hauteur, visible de toute la ville avec un cadran sur chacune des faces du clocher. Son but est que toutes les ouvrières puissent voir l’heure... et qu’on ne puisse pas prolonger indûment leur temps de travail.

En 1869 a lieu la première prise d’habit des Sœurs de Notre-Dame du Suffrage, mais on se méfie un peu de l’œuvre du fondateur et sa congrégation n’est pas tout de suite reconnue.

À l’âge de 51 ans, influencé par don Bosco, il est ordonné prêtre à Rome, le 22 octobre 1876.

Il poursuit son inlassable ministère mais, le 27 mars 1888, âgé de 63 ans, il meurt brusquement, suite à une infection intestinale. Son ami don Bosco l’avait précédé de deux mois (31 janvier 1888). Sa congrégation sera enfin reconnue en 1893 avec les premières professions religieuses.

Francesco Faà di Bruno a été béatifié le 25 septembre 1988 par Saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).

 

27 Mars  et 4 Décembre
Saint Jean Damascène
Docteur de l'Église
(776-880)


Saint Jean Damascène, ainsi nommé parce qu'il naquit à Damas, en Syrie, est le dernier des Pères grecs et le plus remarquable écrivain du huitième siècle.

Son père, quoique zélé chrétien, fut choisi comme ministre du calife des Sarrasins, et employa sa haute situation à protéger la religion de Jésus-Christ. Il donna comme précepteur à son fils un moine italien devenu captif, et auquel il rendit la liberté. Ce moine se trouvait être un saint et un savant religieux; à son école, Jean développa d'une manière merveilleuse son génie et sa vertu.

A la mort de son père, il fut choisi par le calife comme ministre et comme gouverneur de Damas. Dans ces hautes fonctions, il fut, par la suite d'une vile imposture et d'une basse jalousie, accusé de trahison. Le calife, trop promptement crédule, lui fit couper la main droite. Jean, ayant obtenu que cette main lui fût remise, se retira dans son oratoire, et là il demanda à la Sainte Vierge de rétablir le membre coupé, promettant d'employer toute sa vie à glorifier Jésus et Sa Mère par ses écrits. Pendant son sommeil, la Sainte Vierge lui apparut et lui dit qu'il était exaucé; il s'éveilla, vit sa main droite jointe miraculeusement au bras presque sans trace de séparation. Le calife, reconnaissant, à ce miracle, l'innocence de son ministre, lui rendit sa place; mais bientôt Jean, après avoir distribué ses biens aux pauvres, se retira au monastère de Saint-Sabas, où il brilla par son héroïque obéissance.

Ordonné prêtre, il accomplit sa promesse à la Sainte Vierge en consacrant désormais le reste de ses jours à la défense de sa religion et à la glorification de Marie. Il fut, en particulier, un vigoureux apologiste du culte des saintes Images, si violemment attaqué, de son temps, par les Iconoclastes.

Ses savants ouvrages, spécialement ses écrits dogmatiques, lui ont mérité le titre de docteur de l'Église. Il a été, par sa méthode, le précurseur de la méthode théologique qu'on a appelée Scholastique. Ses nombreux et savants ouvrages lui laissaient encore du temps pour de pieux écrits.

Sa dévotion envers la Très Sainte Vierge était remarquable; il L'appelait des noms les plus doux. A Damas, Son image avait occupé une place d'honneur dans le palais du grand vizir, et nous avons vu par quel miracle il en fut récompensé. Les discours qu'il a composés sur les mystères de Sa vie, et en particulier sur Sa glorieuse Assomption, font assez voir comment il était inspiré par Sa divine Mère. Ses immenses travaux ne diminuèrent point sa vie, car il mourut à l'âge de cent quatre ans.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Autres Fêtes du Jour
 

Saint Albert de Trente (✝ 1181)
Saint Amador (date ?)
Sainte Augusta martyre honorée à Trévise (Ve siècle)
Vénérable Bernardo Antonini prêtre diocésain (✝ 2002)
Saint Dominique évêque de Cambrai et Arras (✝ v. 545)
Saint Gélase Abbé de Derry, évêque d'Armagh (✝ 1174)
Bienheureux Giuseppe Ambrosoli  prêtre et médecin italien (✝ 1987)
Bx Louis-Edouard Cestac fondateur des Filles de Marie (✝ 1868)
Sainte Lydie martyre en Illyrie (✝ 121)
Saint Matthieu Martyr (✝ 1100)
Bienheureuse Panacée martyre près de Novare (✝ v. 1383)
Saint Paul de Corinthe Evêque de Corinthe (✝ 885)
Bx Péregrin de Falerone un des premiers disciples de saint François (✝ 1232)
Sts Philet, Lydie, Macédone, Théoprépide, Amphiloque...martyrs (✝ v. 121)
Saint Romule abbé (✝ 730)
Saint Suairlech évêque en Irlande (✝ 750)
Saint Wedulphe évêque de Cambrai et Arras (✝ v. 580)
Saints Zanitas et ses huit compagnons groupe de martyrs perses (✝ 326)

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