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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux, vous aussi : voilà ce que disent la Loi et les Prophètes.

Évangile de Jésus-Christ
selon saint Matthieu 7,7-12.

 

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira.
En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira.
Ou encore : lequel d’entre vous donnera une pierre à son fils quand il lui demande du pain ?
ou bien lui donnera un serpent, quand il lui demande un poisson ?
Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est aux cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent !
Tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux, vous aussi : voilà ce que disent la Loi et les Prophètes. »


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

 

(v. 360-435)
fondateur de monastère à Marseille

De la protection de Dieu, chap. XIII-XIV ; SC 54 (Conférences VIII-XVII ; trad. E. Pichery, éd. du Cerf, 1958 ; p. 173-174)
L’amour maternel de Dieu

 

Cherchons dans les choses humaines une comparaison pour l’incomparable clémence de notre Créateur ; non que nous prétendions y trouver quelque égalité de tendresse, mais du moins une certaine ressemblance dans l’indulgente bonté.

            Je suppose une mère pleine d’amour et de soin. Elle porte longtemps son petit enfant dans ses bras, jusqu’à ce qu’enfin elle lui apprenne à marcher. Et d’abord, elle le laisse ramper. Puis, elle le dresse, et le soutient de la main droite, pour qu’il apprenne à poser les pieds l’un devant l’autre. Bientôt, elle l’abandonne un instant ; mais le voit-elle chanceler, vite elle le prend, soutient ses pas hésitants, le relève s’il est tombé, ou le retient dans sa chute, ou bien, au contraire, le laisse tomber doucement, pour le relever ensuite. Cependant, il est devenu un jeune garçon ; le voilà bientôt dans toute la force de l’adolescence et de la jeunesse. Elle lui fait alors porter des charges ou lui enjoint des travaux qui l’exercent sans l’accabler, elle le laisse lutter avec ses compagnons.

            Combien notre Père à tous, qui est aux cieux, sait-il mieux qui il doit porter sur le sein de sa grâce, qui il doit exercer en sa présence à la vertu, en le laissant arbitre de ses volontés ! Et toutefois, il aide encore celui-ci dans ses labeurs, il écoute ses appels, il ne se dérobe pas à ses recherches, il va jusqu’à le retirer parfois du danger à son insu. Ceci montre à l’évidence que les jugements de Dieu sont insondables, et incompréhensibles les voies par lesquelles il attire au salut le genre humain.

Méditation de l'évangile du père Gabriel

Une pauvre petite règle de rien du tout qui semble à tous un truisme, tant son bon sens éclate. Et pourtant nos deux grands égoïsmes rendent cette vision stérile ; car il y a notre désir insatiable de posséder toujours plus, et notre désir implacable de commander et d'aliéner nos frères à notre pouvoir et discrétion.

Traiter les autres avec respect

Un excellent conseil du Seigneur : “De la manière que vous voudriez que les hommes vous traitent, vous aussi traitez-les pareillement”.

Notre société retrouverait souffle et espoir si, comme nous le demande Jésus, nous nous mettions à la place de nos frères. Imaginez un tout petit peu !… Les conditions de travail, les salaires, les relations humaines, l'habitat…

Une pauvre petite règle de rien du tout qui semble à tous un truisme, tant son bon sens éclate. Et pourtant nos deux grands égoïsmes rendent cette vision stérile ; car il y a notre désir insatiable de posséder toujours plus, et notre désir implacable de commander et d'aliéner nos frères à notre pouvoir et discrétion.

Le choix, dans la liberté évangélique, nous pousse à n'imposer aux autres que ce que nous désirons pour nous-mêmes. C'est la fin du pouvoir personnel et d'un accaparement des biens de la terre. Combien de fois dans notre vie l'application toute simple de ce principe de Jésus nous rendra la paix et la joie et l'apportera aux autres ?

L'utopie chrétienne serait-elle pour demain ?

Père Gabriel

 

Homélie du père Gilbert Adam

Jeudi de la 1re semaine de Carême

« Donc, tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux, vous aussi : voilà ce que disent la Loi et les Prophètes.

« Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira. »

 

La prière est la racine de biens innombrables, elle est un lien d’Amour avec le cœur de notre Dieu. C’est dans une belle relation d’amour avec Dieu que notre vie se comprend. Au cœur de cette relation, la prière nous rapproche de Dieu, elle nous ouvre les portes de son immense amour. La prière est un merveilleux trésor, une richesse de biens intarissables. C’est une arme puissante pour trouver un appui à l’abri des tempêtes. C’est dans la foi que se livre le combat de la prière qui doit être ardente. Elle monte jusqu’au ciel quand l’angoisse étreint notre cœur, elle peut alors nous apporter une grande Paix. Devant les situations extrêmes de notre vie, Dieu veut notre confiance et notre foi. Cette confiance s’appuie sur « l’accueil » que nous faisons de nos frères en souffrance. Ils peuvent compter sur nous dans la mesure de nos possibilités. Nous allons rendre le service dont ils ont besoin si cela est possible. Quotidiennement, nous tenons bon dans la prière. Dieu nous aime et nous délivre, il aime que nous soyons persévérants dans la prière. Jésus nous entretient sur la nécessité et la puissance de la prière.

"Ou encore : lequel d’entre vous donnera une pierre à son fils quand il lui demande du pain ? ou bien lui donnera un serpent, quand il lui demande un poisson ?

Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est aux cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent ! Nous connaissons bien nos limites ! La prière transforme peu à peu notre cœur de pierre en cœur de chair. Dans la détresse, ayant expérimenté le salut de Dieu, nous donnons de bonnes choses à ceux qui nous le demandent. Notre Père dans les cieux est bon, il nous donne de bonnes choses quand nous les lui demandons. La bienveillance de Dieu pour la prière est sa Volonté sainte, il est « Notre Père. » C’est dans cette confiance que rayonne sur notre visage la gloire de Dieu, l’épanouissement de son amour. Il nous faut une grande persévérance pour trouver ce que nous cherchons. La prière n’est pas seulement dans notre bouche, elle jaillit du fond de notre cœur. Dans la prière, nous demandons ce qui est réellement bon pour nous. Si les vents se déchaînent, la prière qui sort du fond du cœur est enracinée, elle monte vers le ciel en toute sûreté.

« Donc, tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux, vous aussi : voilà ce que disent la Loi et les Prophètes.

C’est dans le souci de nos frères que l’assurance en Dieu nous est donnée. Dieu ne manquera pas de répondre à notre appel si nous sommes sensibles aux épreuves qui frappent nos frères, si nous leur apportons quelque soulagement. La brise rafraîchissante de Dieu vient alors soulager nos souffrances nous apportant consolation et réconfort. Dieu entend nos malheurs, il est toujours disposé à exaucer nos supplications. Dieu donne à qui demande, à celui qui cherche, la porte s’ouvre. Nous demandons à Dieu de rendre notre cœur bon comme celui de Jésus. Nous sommes le pauvre qui n’a que Dieu comme recours. Dieu est attentif à notre demande. C’est cette relation de confiance qui nous purifie, elle change le monde. C’est ensemble que nous nous tournons vers Dieu en l’implorant les uns pour les autres. L’harmonie entre l’amour de Dieu et celui des hommes manifeste l’Amour infini que Jésus nous donne sur la Croix.

Prière:

Lorsque dans notre confort, on oublie ceux qui souffrent de tout, du froid de la faim, de la sécurité. Seigneur écoute, voit, et agit pour sauver tous nos frères et soeurs, les enfants victimes de l'égoïsme de ceux qui ont tout. 
Prend pitié de ceux qui souffrent, et ils aident leurs frères et soeurs malgré leurs maigres moyens. Il combattent pas seulement pour leur liberté, mais pour préserver leur familles :(femmes, enfants, personnes âgées, handicapés.)!

Père, prend pitié d'eux, et donne courage à ceux qui ont peur dans cette fournaise du combat ukrainien. Voit ces enfants ils sont pris aux pièges d'une guerre d'adultes sans foi ni loi, venu d'un pays voisins. 

Père je te demande la grâce de demeurer dans l’amour malgré tout, la grâce de garder la foi envers et contre tout.

Amen

Emounawh

10 Mars 2022.

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